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Titre :Vaterlandslied - Der Gott der Eisen Wachsen liess
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Arndt, Ernst Moritz
Interprète(s) :Mach, Hans
Fichier audio :
Photo(s) :
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Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Inter (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :19456
Numéro de matrice :15815
Instruments :chant homme , piano acc.
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2 minutes sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz
Date du transfert :12-10-2018
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Der Gott, der Eisen wachsen ließ est un poème patriotique du poète allemand Ernst Moritz Arndt. Écrit juste avant les guerres de 1813 à 1815, par lesquelles l'Allemagne se libérait du règne de Napoléon, le texte reflète la haine contre Napoléon et le sentiment anti-français du poète. Plus tard, ce poème est devenu un des chants les plus importants du mouvement nationaliste allemand. Intéressant : ici le sous-titre est "Altes Studentenlied", ou vieux chant d'étudiants.
Texte du contenu :Der Gott, der Eisen wachsen liess

Der Gott, der Eisen wachsen ließ,
der wollte keine Knechte.
Drum gab er Säbel, Schwert und Spieß
dem Mann in seine Rechte;
drum gab er ihm den kühnen Mut,
den Zorn der freien Rede,
dass er bestände bis aufs Blut,
bis in den Tod die Fehde.

So wollen wir, was Gott gewollt,
mit rechter Treue halten
und nimmer im Tyrannensold
die Menschenschädel spalten.
Doch wer für Tand und Schande ficht,
den hauen wir in Scherben.
Der soll im deutschen Lande nicht
mit deutschen Männern erben.

[...]

Lasst wehen, was nur wehen kann,
Standarten wehn und Fahnen!
Wir wollen heut uns Mann für Mann
zum Heldentode mahnen.
Auf, fliege, stolzes Siegspanier
voran den kühnen Reihen!
Wir siegen oder sterben hier
den süßen Tod der Freien.

Traduction française

Le Dieu qui faisait croître le fer
ne voulait pas d’esclaves.
Puis, il donnait le sabre, l’épée et l’épieu
dans la droite de l’homme ;
puis, il lui donnait le courage hardi,
l’ire de la parole libre,
pourqu’il continue jusqu’au sang,
jusqu’à la mort la querelle.

Nous voulons donc tenir ce que Dieu a voulu
en bonne fidélité
et ne jamais pour la solde des tyrans
fendre les crânes humains.
Mais celui qui lutte pour la vanité et la honte,
nous le hacherons en lamelles.
Celui-là ne doit point, au pays allemand,
hériter à côté des hommes allemands.

[...]

Faites flotter ce qui peut flotter,
les fanions et les drapeaux !
Nous voulons aujourd’hui, tous les hommes,
nous exhorter à la mort héroïque.
Hardi, vole, ô fière bannière de la victoire
devant les lignes audacieuses !
Nous vaincrons ou nous mourons ici
de la douce mort des libres.

Textes complets sur Wikipedia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Der_Gott,_der_Eisen_wachsen_liess

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